deuxième matin Je me suis réveillé lorsque le coffre de la voiture c’est ouvert, là au dessus de moi ce tenait Madame Françoise elle ce pinçait le nez en disant pouaaah.. qu’elle horreur ce n’est pas possible de puer comme ça, en effet c’était intenable, à distance elle me dit de sortir du coffre, et me poussa au fond du jardin avec le nez toujours pincé, puis elle pris le tuyau d’arrosage et commença à m’asperger tout habillé, une fois que l’odeur n’était plus aussi forte elle me détacha les mains et me dit de me déshabiller complètement, une fois nu elle repris le tuyaux d’arrosage et continua le lavage à l’eau glacée, je grelottais. Ma douche froide terminé, Madame Françoise me dit de me rendre à la cuisine pour préparer les petits déjeuners, je demande à Madame Françoise si je peux m’habiller, mais elle me dit que je suis bien comme ça, mais de mettre juste un petit tablier pour cacher l’horreur que j’avais entre les jambes. Donc comme la veille je prépare pour tout le monde le petit déjeuner, toujours nu je me rends dans chacune des chambres, je n’ai pas oublié les recommandations de la veille, frapper aux portes, puis aller embrasser les pieds de chaque personnes. Ce qui me gêne le plus c’est d’embrasser les pieds des garçons, puis comme hier j’eu droit au restant des bols comme petit déjeuner. Après avoir fait les chambres, puis la lessive de mes affaires souillées, je retourne chercher mes ordres au près de Madame Sophie, ce matin tu vas aller faire les courses me dit-elle, mais tu ne vas pas y aller dans cette tenue bien que .. ! Suis-moi ! Elle va jusqu’au placard ou sont mes vêtements de fille, elle choisit un chemisier très féminin de couleur mauve col rond, enfile ça puis elle me tend un string dentelle et un petit short moulant en jean, voilà tu seras très mignonne habillé comme ça au supermarché. C’est moi qui t’accompagne en ville prends ta carte bleu et les clefs de ta voiture, voici la liste des courses. Au supermarché elle me laissa seul faire les courses, elle resta à distance dans la galerie marchande mais elle me prit quand même en photo sur le parking quand je poussais le caddie. J’essayai de ne pas me faire remarquer dans la tenue que j’étais, c’est vrais que je faisais très efféminé et des clientes se retournaient sur mon passage j’entendais des chuchotements et des mots comme tapette, tantouse, et même PD, je dus ravaler ma fierté, je ne souhaitais surtout pas faire scandale. Lorsque je sortie du super marcher, Madame Sophie vérifia les courses au fur à mesure que je les rangeaient dans le coffre de la voiture, puis elle me demanda d’aller à ma banque, arrivé sur place Madame resta dans la voiture et m’ordonna de retirer trois cents Euros au distributeur, je savais qu’il y avait une camera vidéo dans les distributeurs mais comme j’étais seul je ne pouvais pas prouver que l’on me forçait à retirer cet argent. A mon retour à la voiture je donne à Madame les trois cents euros quelle mit dans son sac puis elle me dit en route chauffeur à la maison. J’ai rangé les courses puis je me suis mis à nouveau à sa disposition, Charlotte suis moi ! Tu ne vas pas rester dans cette tenue pour le restant de la journée, j’ai vu dans ton armoire qu’il y avait des tenues d’écolières et aujourd’hui je suis d’humeur à te voir habillé ainsi, les garçons vont êtres excités c’est l’un de leurs fantasmes, tu risque bien de passer à la casserole. Elle choisit un soutient gorge rembourré et un string ficelle blanc, puis un chemisier fillette rose à manches ballon, col Claudine (j’aime beaucoup les chemisiers col Claudine, je trouve que ça fait très petite fille sage), une mini jupe plissée écossaise rouge, des grandes chaussettes blanches, et pour souligner le col un nœud de couleurs rouge, j’enfile également une paire de chaussure baby vernis noire à petits talons. Il me semble que pour être désirable il faudrait un maquillage, tu as ce qu’il faut je pense ? Oui Madame ! Je lui montre ou se trouvait mon maquillage, elle appelle les deux autres femmes pour l’aider dans cette tache. Les trois femmes ce mettent d’accord sur la couleur des poudres et des rouges à lèvres et commence à me maquiller le visage, Mademoiselle Josiane dit aux deux autres, ont la maquille assez pute pour exciter les garçons quand pensez-vous ? Oui d’ailleurs c’est ce qu’elle est une écolière vicieuse il me semble s’exclame Madame Sophie !. Mademoiselle Josiane ce saisit de l’appareil photo et commence à me prendre sous toutes les coutures, je vous en supplie dis-je mettez moi au moins la perruque sinon on va me reconnaitre ! la ferme ! me dit Madame Sophie, au contraire c’est ce que nous voulons. Maintenant je vais te mettre une perruque car tu fais vraiment tarlouse comme ça, elle fouille dans mes affaires et en ressort une perruque blonde coupe droite quelle me pose sur la tête, suivi d’un serre tête agrémenté d’un gros nœud rouge. Maintenant va faire la cuisine et dresse la table sur la terrasse comme hier. Mais avant allume ton ordinateur portable, pour que je puisse surfer sur le net. Depuis la cuisine j’entendais des rires et des réflexions sur ma personne, je me doutais qu’ils avaient trouvés sur mon PC l’album de photos ou je suis travesti mais aussi quelques photos assez hard. Il était l’heure de passer à table, comme hier je fais le service, là les garçons qui ne m’avaient pas encore vu en écolière étaient hilares, je me faisais chambrer, humilier ils me pelotaient les fesses à chaque fois je servais l’un d’entre eux. A la fin du repas Monsieur Bernard me demanda de me glisser sous la table pour venir chercher mon dessert, il me dit, les petites salopes vicieuses comme toi doivent sans qu’on leur demande donner du plaisir aux vrais Mâles. Je m’exécute et me glisse sous la table, j’ouvre sa braguette et en sort un membre noir, énorme et dur, jamais je ne vais pouvoir avaler ça pensais-je ! Garde tes mains derrière le dos me dit-il, c’est moi qui guide, prends mes couilles dans ta bouche et suces les, maintenant avec ta langue tu remonte le long de ma queue et tu tette le gland, puis il me prit la tête entre ces deux mains et m’enfourne son gros pénis dans la bouche, je manque de m’étouffer et il me balança la tête d’avant en arrière à son rythme pour que je le pompe à fond. Madame Françoise déclencha la camera, pour filmer la scène, bien sur les commentaires fusaient de toute part, j’étais vraiment humilié de subir ça devant tout le monde, mais je commençais à être excité et que je sentais mon asticot qui mouillait dans ça cage. Monsieur Bernard était tellement membré que je n’en pouvais plus et je manquais d’étouffer à chaque va et vient qu’il imprimait sur ma tête, j’avais hâte que ça ce termine, enfin il lâcha de grands jets de sperme dans ma bouche, n’avale pas tout de suite, ouvre grand la bouche, tire la langue et montre à la caméra ce que tu vas avaler, puis il essuya sa queue sur ma figure. Les deux autres garçons se masturbaient en regardant la scène, Monsieur Eric desserra un peu la table pour faire de la place, toujours assit sur sa chaise il me dit viens ici tu va me faire aussi une petite gâterie, et au moment ou je me penchais pour prendre son sexe en bouche je sentis Monsieur Amed derrière moi qui me prit par les hanches souleva mon derrière, je sentis sa queue au bord de mon petit trou il essayait de me pénétrer. Amener moi quelque chose les filles pour lui graisser l’ognon elle est un peu étroite cette salope, une des filles courut à la cuisine et en ramena quelque chose, elle dit à Amed, tu veux de l’huile d’olive, ou du beure, les voilà partis d’un grand éclat de rire, ce n’est pas pour faire cuire la merguez dit Amed en rigolant, tant pis vide lui un peu d’huile dans la raie des fesses ça va bien faire l’affaire ! Et je sentis son long membre dur et noueux qui s’enfonçait en moi. Mademoiselle Josiane dit, regardez comme elle bouge son cul cette fiote elle à l’air d’aimer ça une bite d’Arabe dans le cul, demain on l’emmène habillé comme ça dans une cave de la cité, là elle va voir comme les blacks et les Arabes sont membrés, quand elle aura prit dans sa bouche et son p’tit cul une douzaine de queues. Oui dit Madame Sophie c’est une bonne idée mais ça serait encore plus rigollot si ont l’amenaient habillé en Sissy Bébé avec ça robe rose et ses couches mouillées, ont enverraient aux copains et copines de la cité des MMS avec sa photo en tenue de Sissy Bébé attachée dans une cave avec l’adresse de l’immeuble et le numéro de la cave et on la laissera ainsi 24 heures. Et bien les garçons, vous avez pris du plaisir avec cette pute, mais nous ont aimeraient bien la punir pour avoir osé dans sa tenue écolière vicieuse exciter nos Mâles. Viens ici Charlotte !, allonge toi sur mes genoux, les mains au sol, Madame Sophie rabattit ma jupette sur mon dos pour découvrir entièrement mes fesses et commença à me claquer le derrière avec force du plat de la main, au bout d’une trentaine de claques, elle me lâcha et je dus aller sur les genoux de Mademoiselle Josiane dans la même position pour la même punition, la seule différence elle me claqua le derrière avec une raquette de ping-pong, j’avais les fesses en feu, puis ce fut le tour de Madame Françoise, elle me fit pencher en avant les deux mains posées sur une chaise, les jambes légèrement écarté, elle avait mis un gode ceinture et elle me sodomisa sans ménagement. Je ne sentais plus mon derrière mon anus était en feu, à ce moment là Madame Sophie fit un petit rappel pour tout le monde, il est 16 heures, vous savez que Charlotte nous paye le restaurant ce soir dit elle, nous allons Françoise, Josiane et moi-même préparer charlotte pour cette soirée. Suis-nous ! Elles m’emmenèrent à la salle de bain, me déshabillèrent, elles me poussèrent sous la douche pour me laver et enlever le maquillage, mais je vois Mademoiselle Josiane avec mes habits de Sissy Bébé rose à la main, vous n’allez pas m’emmener au restaurant habillé en bébé dis-je au bord des larmes, Tais toi ! Et elles éclatèrent de rire. Avant de me remettre en couche Mademoiselle Josiane m’enfonce dans l’anus un Plug, puis deux couches l’une sur l’autre, avec une pointe plastique, elles m’enfilent une culotte plastique et par-dessus ma culotte rose à volants, ensuite elles me passent ma robe Sissy Bébé, et elles me coiffent de mon bonnet rose. Que croyais tu, que l’ont allaient gentiment t’emmener au restaurant avec nous, tu délire ma fille. Va chercher ton chéquier tu vas signer un chèque en blanc et tu nous donneras ta carte d’identité au cas ou le restaurateur nous la demande. Comme tu n’as rien mangé aujourd’hui bois ce biberon de lait, quand j’eu terminé le biberon, Madame Sophie m’emmena à la niche, elle me menotta les mains dans le dos, et cadenassa le collier de chien à la chaine, il était à peine 17 heures et il faisait encore très chaud, je me couché recroquevillé au fond de la niche, j’ai eu du mal à m’endormir, j’ai vu les voitures partir en début de soirée puis je me suis réveillé à leur retour au milieu de la nuit.

La suite bientôt